L’année reste précoce, mais l’herbe peine toujours à décoller, surtout sur les secteurs séchant. Les précipitations de cette semaine devraient améliorer la pousse de l’herbe. Toutefois, si la croissance n’est pas encore au rendez-vous, la valeur de l’herbe pâturée est bonne voire très bonne, et la production de lait se maintient voir augmente depuis la mise à l’herbe. De plus, les mises à l’herbe précoces (début mars) ont permis d’augmenter la densité du couvert et le développement des légumineuses (trèfle blanc) dans vos prairies.
L’humidité du sol et les températures plus clémentes maintiennent la croissance de l’herbe, qui est d’autant plus forte sur les prairies pâturées et fertilisées. Cette croissance devrait se maintenir dans les semaines à venir.
Le vent de la semaine dernière a limité la pousse de l’herbe. Toutefois, les températures douces voir chaudes de cette semaine vont accélérer la croissance de l’herbe. Dans les situations où la prairie a été fauchée et fertilisée, l’herbe nouvelle est feuillue, riche en sucre et en azote. On constate un maintien du lait même dans les situations très avancées en lactation.
L’humidité retrouvée du sol et l’augmentation des températures de la semaine dernière ont permis de maintenir le niveau de croissance de l’herbe. Toutefois, les stades des plantes avancent et la qualité de l’herbe pâturée risque de diminuer avec la montée en épis des plantes.
Les pluies de la semaine dernière ont permis une bonne reprise de la pousse de l’herbe. Cette croissance devrait se poursuivre avec l’augmentation des températures. Néanmoins, le stock d’herbe sur pied reste faible et les situations de surpâturage ne sont pas rares.
Les températures plus clémentes de la semaine dernière ainsi que le retour des précipitations ont légèrement « rebooster » la croissance de l’herbe. Cette dernière se maintient en plaine comme en montagne avec 60 à 80 kg de MS par jour et par hectare, soit les besoins journaliers de 4 à 5 vaches en 100 % pâture.
La pousse d’herbe de la semaine dernière est toujours inférieure à celle enregistrée les années précédentes (2011 à 2013). Les conditions climatiques sèches et froides avec les gelées matinales ont fortement pénalisé la pousse de l’herbe. Toutefois, l’herbe reste dense et riche en légumineuses ce qui permet une bonne valorisation alimentaire.
Les précipitations de la semaine dernière et les températures actuelles élevées ont permis d’accroitre fortement la pousse de l’herbe depuis 8 jours. Nous avons ainsi eu 72 kg de MS produit par jour et par hectare sur le département comme pour la région Rhône-Alpes.
Malgré la précocité de l’année, la pousse de l’herbe peine à décoller. Même avec 15 à 20 jours d’avance sur les températures habituelles, nous retrouvons une pousse de l’herbe de l’ordre de 36 kg MS/ha/jour, soit au niveau de la moyenne des 3 années précédentes.
Les conditions anticycloniques de la semaine dernière ont limité la croissance de l’herbe, seul le secteur des Chambaran légèrement plus chaud montre une progression. La pluie et l’amélioration des températures prévue la fin de la semaine devraient activer la pousse de l’herbe pour les jours à venir.
Les températures printanières des derniers jours favorisent cette année une pousse précoce de l'herbe. Il est temps en plaine de s'organiser pour optimiser cette nouvelle saison de pâturage.
La croissance de l’herbe se confirme. Depuis 15 jours, les températures plus agréables ont permis une reprise de la pousse de l’herbe. Par contre nous observons des différences de croissance notables entre les parcelles.
L’herbe redémarre enfin ! Les températures plus chaudes de la semaine dernière ont permis une reprise de la pousse de l’herbe. Cette dernière est plus active sur les parcelles ayant reçu un apport d’azote courant mai. Toutefois, cette croissance reste toujours timide en altitude avec seulement de 24 kg MS par jour pour la Chapelle en Vercors par exemple.
Gros coup de frein sur la pousse de l’herbe : Les 15 derniers jours de mai ont fortement pénalisé la pousse de l’herbe. A ce jour, la croissance de l’herbe permet d’assurer les besoins journaliers pour 2 vaches par hectare sans complément à l'auge, et 6 vaches par hectares avec 10 kg de MS de fourrage distribués à l’auge. Le retour du soleil et la douceur toute relative sont les ingrédients propices pour une reprise de la pousse.
Stagnation de la pousse de l'herbe : Le froid qui persiste depuis les 2 dernières semaines pénalise la croissance de l‘herbe. Cette dernière est de 56 kg de MS /ha sur le département (moyenne identique pour la région Rhône-Alpes) contre 100 kg de MS début mai. Ainsi, l’augmentation des compléments à l’auge voir l’ouverture de certains silos s’avèrent nécessaire en attendant la reprise de la pousse de l’herbe.
La pousse de l’herbe diminue depuis 10 jours, les faibles températures et l’excès d’eau pénalisant la croissance mais aussi la fourniture en azote du couvert. Notons que les différences de croissance entre les exploitations suivies en Isère sont liées au pourcentage de légumineuses et à la portance des sols.
La pousse de l’herbe se maintient avec de fortes disparités sur les 4 fermes suivis (et sur le département). La montée en épis des graminées dope la croissance sur les prairies développées, mais on note un ralentissement de la croissance sur les repousses feuillues. En effet, les faibles températures et l’excès d’eau pénalisent la minéralisation, et donc la fourniture en azote de la prairie, ralentissant ainsi sa croissance.
Malgré un temps plus frais fin avril début mai, la croissance de l’herbe se maintient à plus 80 kg de MS/jour/ha, soit la consommation journalière de plus 5 vaches à l’hectare uniquement à l’herbe. Néanmoins, la portance des sols est problèmatique, les fortes précipitations des derniers jours laissent des sols détrempées d’où un risque de matraquage du couvert.
Le temps quasi estival de la semaine dernière a fortement activé la pousse de l’herbe. En moyenne, les hauteurs d’herbe ont progressé de 2,5 cm en montagne à plus de 4 cm en plaine. Cette croissance est exceptionnelle puisque le niveau de 2011 (année pourtant très précoce) est atteint. Côté développement, le climat de la semaine dernière a accéléré les stades, les espèces les plus précoces comme les pâturins et certains dactyles commencent à épier.
