La flambée des prix des matières premières a incité nombre d’éleveurs caprins à rechercher une meilleure autonomie. L’alimentation est le poste de charge souvent le plus élevé pour les troupeaux caprins. Il peut donc être intéressant de stocker ses céréales et de les distribuer aux animaux, soit en brut, soit faire un mélange adapté à la période d’alimentation.

Renouveler ses chevrettes : oui, mais à quel prix ? En élevage caprin, le coût du renouvellement peut peser lourd et l’alimentation est le poste le plus onéreux… L’avenir du troupeau ce sont les chevrettes. Il est important d’investir dès cette première année de vie pour obtenir de bonnes primipares exprimant tout leur potentiel.

Mardi 21 octobre à Voiron en Isère, une journée d'information et d'échange autour du thème des pseudomodas est organisée par le PEP caprin et l'Association des Producteurs Fermiers de l'Isère. Nous vous attendons nombreux

Le groupe de suivi Cap Cellules vous propose des rappels et un témoignage d'éleveur sur le tarissement. Voici d'abord les informations techniques sur la conduite à tenir au tarissement.

Découvrez l'article issu du dernier La Chèvre (mai-juin 2014) concernant les évolutions de la grille de paiement du lait de la Coopérative EURIAL : taux de référence à 38/32, bonification des laits à moins d'un million de cellules, Code mutuel, accompagnement des JA, ...

Les laitiers et les fromagers ont un même combat : limiter la transmission des infections et assainir le troupeau. Les pénalités se durcissant, les comptages cellulaires individuels deviennent un outil indispensable pour piloter les actions à mettre en place dans l’élevage. L’objectif pour chaque chèvre est d’être à moins de 750 000 cellules par ml de lait.

Deux éleveurs qui désaisonnent nous livrent leur sentiment : Eric Barnier (EB) pour la Ferme Saint Alban (Aoust - Drôme), et Christine et Michel Pollien (CMP à Satint Donat Sur L’Herbasse - Drôme).

Le printemps frais et très humide de 2013 a eu pour conséquence des valeurs de fourrages médiocres. La météo d’avril et mai a causé un retard de deux semaines sur les normales. Malgré des récoltes assez rapide dès le début juin avec des stades de végétations satisfaisants, les valeurs sont faibles avec parfois des problèmes de conservation.

Cette vidéo réalisée à la ferme expérimentale du Pradel par le PEP caprin témoigne de la bonne façon de réaliser un post trempage sur une chèvre.

Cette vidéo réalisée à la ferme expérimentale du Pradel par le PEP caprin témoigne de la bonne façon de réaliser un traitement antibiotque intramammaire sur une chèvre.

Limiter la mortalité des chevrettes est indispensable pour assurer le renouvellement du troupeau. Un manque de poids à la reproduction de 3 kg induit en moyenne une perte de 40 à 60 litres par lactation durant toute la carrière de l’animal. Outre l’alimentation et le bâtiment, le contrôle des principales affections doit permettre moins de 10 % de mortalité avant 2 mois et moins de 5 % entre 2 et 12 mois.

Découvrez notre nouveau Lait's Go spécial Elevage des Chevrettes, avec des articles concernant le logement des chevrettes, le suivi de croissance, l'alimentation, l'hygiène, mais aussi des articles d'actualité sur les fourrages 2013, la gestion des taux cellulaires, et les test de liste de pesée électronique caprine. Bonne lecture!

Dans un contexte d’augmentation des charges, il est nécessaire de faire le point sur les économies possibles. L’Institut de l’élevage a normalisé une méthode simple afin de mettre en évidence les principaux postes pénalisant le revenu de l’éleveur.

Dans la Drôme, les chèvres des élevages adhérents à Capgènes depuis plus de 5 ans produisent 260kg de lait en plus avec près d’1,5 points de TB et TP en plus que les chèvres des élevages non adhérents.On retrouve ce résultat plus marqué d’année en année. En 2011, les chèvres des élevages adhérents à Capgènes depuis plus de 5 ans (13 élevages, groupe 3) ont produit 1 000kg de lait de moyenne avec 35,5g/kg de TB et 32,6g/kg de TP. Dans le même temps, les chèvres des élevages non adhérents à Capgènes (34 élevages, groupe 1) n’ont produit que 740 kg de lait à 34,2g/kg de TB et 31,1 g/kg de TP.