autonomie alimentaire
Autonomie fourragère : Vache + Sol + Climat : l’équation à trois inconnues
Face au réchauffement climatique qui diminue la production des fourrages, l’agilité doit être le maître mot pour viser l’autonomie. Toutes les cultures envisageables doivent être explorées, l’émergence des fourragères tropicales comme le sorgho ou le moha n’est pas la seule voie envisageable, loin de là. Méteils, légumineuses, colza, betteraves… il faut redécouvrir des fourrages parfois délaissés et bâtir un système qui optimise le lien entre le sol et la vache.Prochaines formations pour les éleveurs de la Loire
Les inscriptions pour les prochaines formations techniques sont ouvertes. Stages gratuits pour les adhérents LCE (participation de 14€ aux frais de repas demandée). Au programme : valorisation des cultures dérobées, culture du maïs en altitude, journées caprines (IA sur chaleur naturelle, fourrages, ventilation des bâtiments)... Témoignages de 2 éleveurs, nouvellement installés, sur leur volonté d'augmenter leur autonomie alimentaire
Le numéro 281 du magazine Dans la Loire, fabrique d'aliment à la ferme avec un camion-usine
Dans la revue L'agronomie au service de l'autonomie alimentaire
Le PEP Bovins lait, ARVALIS et ses partenaires ont organisé une journée régionale fourrage le 1er février 2017 à La Tour de Salvagny. Plus de 70 conseillers d'élevage, fourrage, technico-commerciaux ou enseignants de la région Auvergne Rhône-Alpes y ont participé.Améliorer l'autonomie en concentrés avec la conservation des céréales broyées en silo
Pour utiliser les céréales de l’exploitation, traditionnellement cela nécessite un équipement important. Des cellules ventilées, des vis de reprise et un aplatisseur ou un lamineur. Pour un équipement complet et fonctionnel l’investissement peut vite dépasser 30 000€. Bien que ce matériel puisse être subventionné par la Région Rhône-Alpes (diagnostic autonomie alimentaire), cela représente un investissement important. Une autre possibilité existe, le stockage en grain humide en boudin ou en silo couloir.Autonomie alimentaire et vaches à haute valeur ajoutée
« J’implante du sorgho bmr depuis 5 ans. J’utilise différentes variétés. J’ai réduit les densités de semis recommandées. A 250 ou 300 000 pieds par ha, les sorghos montent pour rechercher la lumière, et finissent par verser. Cette année, j’ai semé à 180 000 pieds. Et l’année prochaine, je ferai un essai à 150 000. Avant le sorgho, j’ai implanté un mélange de féverole et pois pour augmenter la productivité de la parcelle. La féverole est excellente pour la structure du sol en semis direct.Des assemblées sous le signe de la recherche d'autonomie alimentaire
Rendez-vous les 10 et 11 mars pour les assemblées de section bovines. Outre la présentation de nos services et des nouveautés 2015, nous aborderons le thème de la cohérence du système d'exploitation : autonomie alimentaire, bâtiments fonctionnels, conduite d'élevage performante...Moins de 100g de tourteau de soja par litre de lait produit pour des vaches à 10000kg
Rapport d'activités des Assemblées de section 2014
Si vous n'avez pas pu participer à nos assemblées de section, retrouvez ici un L’autonomie alimentaire des laitières à coût maîtrisé
Réussite pour la journée consacrée aux bénéfices du méteil et soja dans les rotations et rations
Mardi 27 mai dans le cadre des Journées Terres d'Innovations organisées par Vers plus d’autonomie alimentaire, des pistes à approfondir
Lait's go spécial Nutrition 2009
