La compatibilité repose sur la motivation des éleveurs et des vaches, l’accessibilité des pâtures et le taux de saturation de la stalle de traite. Même si souvent la tentation est grande, la mise en place d’un robot de traite ne doit pas être synonyme de « zéro pâturage ».Dans un système bien géré, en période de pâturage, le nombre de traite ne baisse que de 0,2/VL/j et le lait de 1,7 litre par jour. Une baisse infime au regard des économies réalisées sur le poste alimentation.