Face au réchauffement climatique qui diminue la production des fourrages, l’agilité doit être le maître mot pour viser l’autonomie. Toutes les cultures envisageables doivent être explorées, l’émergence des fourragères tropicales comme le sorgho ou le moha n’est pas la seule voie envisageable, loin de là. Méteils, légumineuses, colza, betteraves… il faut redécouvrir des fourrages parfois délaissés et bâtir un système qui optimise le lien entre le sol et la vache.