Mercredi 25 avril plusieurs modalités de fauche d'herbe avec conditionneuse et différents andaineurs ont été testées à Chateauvilain et présentés à une quarantaine d'éleveurs présents. Retrouvez tous les résultats de l'essai sur la fauche conditionneuse dans la vidéo ci-dessous :
Mercredi 25 avril une expérimentation mise au point par Ardèche Drôme Isère Conseil Elevage a permis de comparer différentes techniques de fauche et andainage dans l'objectif d'avoir un ensilage d'herbe de top qualité et à 35% de Matière Sèche. Une quarantaine de personnes ont assisté aux différents essais dont voici la 1ere vidéo :
Les températures élevées accélèrent la pousse, l'herbe est de qualité et le temps sec permet un pâturage dans de bonnes conditions, même si la pluie va vite être nécessaire pour les repousses. Les premières coupes sont intervenues sur ray-grass.
Depuis près de 8 ans, Ardèche, Drôme et Isère Conseil Elevage propose de calculer les coûts de production de l’atelier lait à leurs adhérents selon la méthode « Institut Elevage ». Cet hiver un nouveau cycle de formations vient de se terminer avec 12 sessions en bovins lait sur les 3 départements. Ceux sont près de 160 élevages, 25% de nos adhérents, qui ont bénéficié de ce service.
Traiter sélectivement, c'est baisser d'environ 50% l'usage d'antibiotique au tarissement. Les traitements au tarissement ou lors des mammites en lactation représentent 70% des antibiotiques utilisés en élevage laitier. Encore appliqué par une majorité d’éleveurs, le traitement systématique au tarissement est de plus en plus controversé. Il est remplacé par du traitement sélectif pour de multiples raisons : passage en agriculture biologique, attente sociétale, … mais aussi à cause de l’inquiétude face à l’antibiorésistance. Elle s’est traduite depuis 2012 par le plan écoantibio (2012-2017) et depuis peu par le plan écoantibio2 (2017-2021). Le traitement sélectif au tarissement apparait comme une piste crédible de réduction des antibiotiques.
Mardi 20 mars, l’Earl de la Goula situé à Trept (38) ouvrait ses portes pour présenter le fonctionnement du troupeau, la traite avec 2 stalles de robot, l’alimentation par un robot Vector et sa démarche de conversion à l’agriculture biologique.
Organisé par Ardèche Drôme Isère Conseil Elevage pour le compte de la FIDOCL, 60 éleveurs et conseillers de la région Auvergne Rhône-Alpes ont pu échanger et débattre sur les choix de Nicolas ROYBIN, ses pratiques et ses résultats. Petit tour d'horizon :
Début mars 2017, Nicolas ROYBIN a opté pour une expertise nutrition avec Pierre GONIN, conseiller élevage expert alimentation. En amont Patrick PELLEGRIN, conseiller élevage spécialiste fourrage, avait travaillé sur la cohérence du système fourrager et sur la mise en place du pâturage. Nicolas avait aussi beaucoup réfléchi sur ce changement de système. Il a parrallèlement rencontré plusieurs éleveurs en bio. Il a fallu procéder par étapes pour éluder au fur et à mesure les questions techniques.
Autonomie fourrage et concentré : l’exploitation de l’Earl de la Goula dispose d’une surface très importante mais avec des sols de nature et potentiel très hétérogène (parcelle irriguée à bon potentiel, prairies naturelles très séchantes à une coupe de foin/an).
Depuis plus de 10 ans, le pâturage des laitières était abandonné. D’une obligation avec le passage en bio, Nicolas a transformé « la contrainte » en atout tout en gardant une productivité laitière élevée avec le robot de traite. Pour réussir il s’en est donné les moyens.De 8 ha disponibles initialement autour du bâtiment, il a pu doubler les surfaces avec des échanges auprès d’un voisin et la réorganisation du parcellaire. Aujourd’hui : 18 ha sont accessibles par les vaches, en trois ilots. La parcelle la plus éloignée est à 500m.
Mercredi 25 avril plusieurs modalités de fauche d'herbe avec conditionneuse et différents andaineurs ont été testées à Chateauvilain et présentés à une quarantaine d'éleveurs présents. Retrouvez tous les résultats de l'essai sur la fauche conditionneuse dans la vidéo ci-dessous :
Mercredi 25 avril une expérimentation mise au point par Ardèche Drôme Isère Conseil Elevage a permis de comparer différentes techniques de fauche et andainage dans l'objectif d'avoir un ensilage d'herbe de top qualité et à 35% de Matière Sèche. Une quarantaine de personnes ont assisté aux différents essais dont voici la 1ere vidéo :
Les températures élevées accélèrent la pousse, l'herbe est de qualité et le temps sec permet un pâturage dans de bonnes conditions, même si la pluie va vite être nécessaire pour les repousses. Les premières coupes sont intervenues sur ray-grass.
Depuis près de 8 ans, Ardèche, Drôme et Isère Conseil Elevage propose de calculer les coûts de production de l’atelier lait à leurs adhérents selon la méthode « Institut Elevage ». Cet hiver un nouveau cycle de formations vient de se terminer avec 12 sessions en bovins lait sur les 3 départements. Ceux sont près de 160 élevages, 25% de nos adhérents, qui ont bénéficié de ce service.
La récolte du foin avec séchage en grange favorise la précocité des premières coupes. En plus, il conforte l’image des AOP.
Traiter sélectivement, c'est baisser d'environ 50% l'usage d'antibiotique au tarissement. Les traitements au tarissement ou lors des mammites en lactation représentent 70% des antibiotiques utilisés en élevage laitier. Encore appliqué par une majorité d’éleveurs, le traitement systématique au tarissement est de plus en plus controversé. Il est remplacé par du traitement sélectif pour de multiples raisons : passage en agriculture biologique, attente sociétale, … mais aussi à cause de l’inquiétude face à l’antibiorésistance. Elle s’est traduite depuis 2012 par le plan écoantibio (2012-2017) et depuis peu par le plan écoantibio2 (2017-2021). Le traitement sélectif au tarissement apparait comme une piste crédible de réduction des antibiotiques.
Début mars 2017, Nicolas ROYBIN a opté pour une expertise nutrition avec Pierre GONIN, conseiller élevage expert alimentation. En amont Patrick PELLEGRIN, conseiller élevage spécialiste fourrage, avait travaillé sur la cohérence du système fourrager et sur la mise en place du pâturage. Nicolas avait aussi beaucoup réfléchi sur ce changement de système. Il a parrallèlement rencontré plusieurs éleveurs en bio. Il a fallu procéder par étapes pour éluder au fur et à mesure les questions techniques.
Depuis plus de 10 ans, le pâturage des laitières était abandonné. D’une obligation avec le passage en bio, Nicolas a transformé « la contrainte » en atout tout en gardant une productivité laitière élevée avec le robot de traite. Pour réussir il s’en est donné les moyens.
