Depuis plus de 10 ans, le pâturage des laitières était abandonné. D’une obligation avec le passage en bio, Nicolas a transformé « la contrainte » en atout tout en gardant une productivité laitière élevée avec le robot de traite. Pour réussir il s’en est donné les moyens. De 8 ha disponibles initialement autour du bâtiment, il a pu doubler les surfaces avec des échanges auprès d’un voisin et la réorganisation du parcellaire. Aujourd’hui : 18 ha sont accessibles par les vaches, en trois ilots. La parcelle la plus éloignée est à 500m.