Les jeunes diplômés de la génération Y, c'est à dire ceux nés dans les quatre-vingt, veulent "travailler dans des entreprises qui encouragent l’esprit d’innovation, développent leurs compétences et souhaitent les voir jouer un rôle positif dans la société". C'est l'une des conclusions d'une enquête du cabinet Deloitte auprès de jeunes diplômés de 28 pays. (Source : APECITA, mai 2014). Comment les entreprises de conseil élevage se positionnent-elles face à ces attentes ?

En France, plus de la moitié des jeunes diplômés (52 %) se déclarent même prêts à travailler de façon autonome en exploitant les outils numériques si leur entreprise ne répond pas à leurs attentes. 32 % seulement pensent que les dirigeants actuels ont la capacité de développer la créativité de leurs collaborateurs (contre 45% tous pays confondus)

En savoir plus sur la synthèse de l'étude: Newsletter de l'APECITA, mai 2014 - Etude Deloitte : ce que la génération Y attend des entreprises.

Les valeurs qui font sens dans les Entreprises de Conseil Elevage et les pratiques de management qui y sont appliquées sont de nature à répondre à la plupart de ces aspirations.
Les éleveurs ont à relever de nouveaux défis (s'adapter à la demande de nouveaux marchés et anticiper les retournements de tendance, valoriser les nouvelles technologies, faire à face à une main d'oeuvre agricole moins nombreuse, sécuriser leur revenu et péreniser leur entreprise...). Les conseillers qui les entourent doivent disposer de ces mêmes capacités d'adaptation. Le métier de conseil en élevage exige des jeunes embauchés, une faculté à développer ses compétences au quotidien, pour accompagner les élevages dans la période de mutation actuelle. L'esprit d'initiative, la créativité et la prise en mains des innovations sont recherchés.
Ce métier restera centré sur l'homme (la femme), l'éveur(se), et repose sur approche éthique de la vente des services. Les qualités humaines et relationnelles des nouveaux embauchés demeurent essentielles.